Le guide complet pour protéger naturellement nos animaux des parasites externes
- carolle85
- 26 mars
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 27 mars
Les parasites externes comme les puces, les tiques et les moustiques représentent un problème récurrent pour nos animaux.
Souvent, les traitements chimiques sont privilégiés pour leur action rapide, mais ils ne sont pas sans risques : effets secondaires, légers, impact sur la santé et l'environnement.
Heureusement, il existe des solutions naturelles efficaces qui permettent d'adopter une approche plus respectueuse du bien-être animal.
Dans cet article, nous explorons pourquoi les alternatives naturelles sont intéressantes, comment elles fonctionnent, et quelles solutions concrètes mettre en place.
Chapitre 2 :Pourquoi privilégier le naturel
Chapitre 1 : Les traitements chimiques contre les parasites externes – Efficacité et risques pour la santé
Les parasites externes, tels que les puces, les tiques et les moustiques, sont une menace constante pour nos animaux de compagnie. Pour les combattre, l'industrie vétérinaire propose divers traitements chimiques sous forme de pipettes, colliers, sprays et comprimés. Bien que ces solutions soient souvent présentées comme efficaces et pratiques, elles soulèvent de nombreuses interrogations quant à leur impact sur la santé de l'animal, leur mode d'action et leurs effets secondaires potentiels.
Dans ce chapitre, nous allons explorer le fonctionnement de ces traitements, leur efficacité, mais aussi les risques qu'ils peuvent représenter pour nos compagnons à quatre pattes et leur environnement.
Comment fonctionnent les traitements antiparasitaires chimiques ?
Les traitements chimiques antiparasitaires agissent principalement selon trois mécanismes :
Effet neurotoxique sur les parasites : La plupart des molécules utilisées ciblent le système nerveux des insectes et des acariens, provoquant une paralysie et leur mort. C'est le cas des insecticides comme la perméthrine, le fipronil ou l'imidaclopride.
Régulation de la croissance des parasites : Certains traitements empêchent le développement des larves en bloquant leur mue, entraînant ainsi leur prolifération (ex : méthoprène, pyriproxyfène).
Action systémique via le sang : Les comprimés antiparasitaires contiennent des molécules actives (ex : afoxolaner, fluralaner) qui circulent dans le sang de l'animal et tuent les parasites lors de leur repas sanguin.
Bien que ces traitements soient globalement efficaces, leur action repose sur des substances neurotoxiques qui, bien que spécifiques aux parasites, ne sont pas sans effet sur les animaux domestiques eux-mêmes et sur leur environnement.
Les risques des antiparasitaires chimiques pour la santé des animaux
De nombreuses études et observations vétérinaires ont mis en évidence des effets secondaires chez certains animaux exposés à ces substances, notamment :
a) Troubles neurologiques et comportementaux
Certains antiparasitaires, notamment les isoxazolines (afoxolaner, fluralaner, sarolaner), ont été associés à des convulsions, des tremblements musculaires et des désorientations chez des chiens et des chats sensibles.
Une étude de la FDA (Food and Drug Administration, 2018) a confirmé ces effets secondaires et a alerté les vétérinaires sur leur potentiel neurotoxique.
b) Impact sur le foie et les reins
Les molécules ingérées ou appliquées sur la peau sont métabolisées par le foie et éliminées par les reins. Une exposition prolongée ou répétée peut entraîner une surcharge de ces organes et, chez certains animaux fragiles, des insuffisances hépatiques ou rénales.
Une recherche publiée dans le Journal of Veterinary Pharmacology and Therapeutics (2020) a montré que certains insecticides systémiques comme le fluralaner peuvent affecter les enzymes hépatiques, particulièrement chez les chiens âgés ou malades.
c) Risques d'allergies et d'intoxications
Des réactions allergiques cutanées (rougeurs, démangeaisons, brûlures) sont courantes après l'application de pipettes ou colliers contenant du fipronil ou de la perméthrine.
L'ingestion accidentelle de certains produits (par léchage ou erreur de dosage) peut provoquer des vomissements, des diarrhées et, dans certains cas, des intoxications graves nécessitant une prise en charge vétérinaire.
d) Toxicité pour certaines espèces (en particulier les chats)
De nombreux antiparasitaires contiennent de la perméthrine, une molécule extrêmement toxique pour les chats, entraînant des tremblements, des convulsions et, dans les cas graves, la mort.
Même des résidus sur la peau d'un chien traité peuvent suffire à enivrer un chat partageant le même foyer.
Le gène MDR1 chez certaines races de chiens, notamment les Collies et les Bergers Australiens. Ce gène, lorsqu'il est muté, peut rendre les chiens sensibles à divers médicaments.
Cependant, en faisant mes recherches pour cet article, des études ont montré que le fluralaner, l'ingrédient actif du Bravecto, est bien toléré par les chiens porteurs de cette mutation. Une étude publiée dans le Parasites & Vectors a administré du fluralaner à des Collies homozygotes pour la mutation MDR1 à une dose trois fois supérieure à la dose clinique maximale prévue, sans observateur d'effets indésirables. De plus, le Programme de Médecine Individualisée de l'Université d'État de Washington indique que le Bravecto a été testé sur des chiens porteurs de la mutation MDR1 sans provoquer d'effets indésirables, concluant que ces chiens ne sont pas à risque accru lors de l'utilisation de ce médicament.
Néanmoins, il est toujours recommandé de consulter votre vétérinaire avant d'administrer tout traitement antiparasitaire, afin de choisir la solution la plus adaptée à votre animal .
L'impact environnemental des antiparasitaires chimiques
Les antiparasitaires chimiques ne se contentent pas de rester sur l'animal. Ils se diffusent dans l'environnement via plusieurs voies :
Pollution des cours d'eau : Après application, les substances actives se retrouvent dans l'eau de baignade, de lavage et même dans les urines des animaux, contribuant à la contamination des rivières et nappes phréatiques.
Impact sur la faune : Certaines molécules, comme le fipronil, sont toxiques pour les insectes pollinisateurs comme les abeilles et pour les organismes aquatiques (poissons, amphibiens).
Dangers pour les enfants et les autres animaux : Le contact répété avec un chien ou un chat traité peut exposer les jeunes enfants à ces molécules via la peau et la bouche.
Une étude de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA, 2021) a mis en lumière la présence de résidus de fipronil et d'imidaclopride dans les eaux de surface, menaçant la biodiversité et les écosystèmes aquatiques.
⚠️ Attention donc à ne pas laisser les poils de vos animaux dans la nature s'ils sont traités chimiquement
Pourquoi envisager une alternative aux traitements chimiques ?
Face à ces constats, de nombreux propriétaires d'animaux recherchent des solutions plus naturelles et respectueuses de la santé et de l'environnement. Opter pour une approche plus douce permet :
✅ De réduire les risques pour la santé de l'animal en provoquant les substances neurotoxiques.
✅ D' éviter les effets secondaires tels que les troubles neurologiques ou les réactions cutanées.
✅ De préserver l'environnement en entraînant la pollution des sols et des eaux.
✅ D' adopter une approche préventive plutôt que curative, en renforçant l'organisme de l'animal pour le rendre moins vulnérable aux parasites.
L'alternative naturelle repose sur une vision holistique où l'on travaille sur le terrain de l'animal : alimentation, hygiène de vie, plantes médicinales, huiles essentielles, argile, lithothérapie… autant de solutions que nous explorerons dans les prochains chapitres.
Les traitements chimiques contre les parasites offrent une efficacité rapide mais ne sont pas sans conséquences sur la santé des animaux et de l'environnement. De plus en plus d'études alertent sur leurs effets secondaires, ce qui pousse de nombreux propriétaires à rechercher des alternatives naturelles.
Dans le prochain chapitre, nous verrons en détail comment fonctionne une approche naturelle et pourquoi elle nécessite une stratégie plus globale et préventive.
Chapitre 2 : Pourquoi privilégier une approche naturelle contre les parasites ?
Plutôt que de traiter un problème après son apparition, l’approche naturelle repose sur la prévention. Contrairement aux antiparasitaires chimiques, elle ne repose pas sur un seul produit miracle, mais sur un ensemble de pratiques visant à rendre l’animal moins attractif pour les parasites tout en respectant son équilibre physiologique.
Renforcement du système immunitaire : Un animal en bonne santé, avec un organisme fort, est naturellement moins attractif pour les parasites. Un équilibre alimentaire riche en nutriments essentiels (oméga-3, zinc, vitamine B) permet de renforcer la peau et le pelage, réduisant ainsi le risque d’infestation
Action répulsive et non toxique : Contrairement aux insecticides chimiques qui tuent les parasites en les intoxiquant, les solutions naturelles les repoussent. Certaines huiles essentielles (géranium, lavande, citronnelle) et extraits de plantes (margousier, tanaisie) créent une barrière olfactive qui perturbe les récepteurs sensoriels des parasites sans affecter l’animal.
Synergie de plusieurs thérapies naturelles : Contrairement aux traitements classiques qui sont souvent uniques (cachet ou pipette), une approche holistique combine différentes méthodes, chacune apportant une action complémentaire. Par exemple :
Phytothérapie : Les plantes comme l’ail (en microdose), la levure de bière ou le neem modifient l’odeur corporelle et rendent l’animal moins attractif (Abdel-Shafy & Zayed, 2002).
Aromathérapie : Certaines huiles essentielles sont des répulsifs puissants et peuvent être appliquées en dilution sur le pelage ou utilisées en spray.
Lithothérapie : L’ambre et la tourmaline, portés en collier, émettent des ions négatifs qui perturberaient l’adhésion des parasites (expérience empirique, à approfondir scientifiquement).
Argilothérapie : L’argile verte et le bicarbonate de soude assainissent le pelage et la peau, créant un milieu moins propice au développement des puces et des tiques.
Moins d’impact sur l’environnement : Contrairement aux traitements chimiques qui libèrent des résidus toxiques dans l’eau et les sols, les solutions naturelles sont biodégradables et respectueuses des écosystèmes .
C
Adopter une approche naturelle demande une implication plus grande du propriétaire : il ne s’agit plus simplement de donner un cachet, mais de mettre en place une véritable stratégie de protection holistique. L’intérêt de cette méthode est qu’elle ne se limite pas à repousser les parasites, mais participe également au bien-être général de l’animal, en renforçant son organisme et en respectant son équilibre naturel.
Chapitre 3 : Des solutions naturelles concrètes contre les parasites
Après avoir compris pourquoi une approche naturelle est plus respectueuse de l'organisme de nos animaux et de l'environnement, il est temps de passer à l'action. Dans ce chapitre, nous allons explorer différentes solutions problématiques de plusieurs disciplines de soins naturels : aromathérapie, phytothérapie, argilothérapie, nutrithérapie, lithothérapie et bioénergie.
Chaque solution est adaptée à un type de besoin : répulsion, assainissement du pelage et de la peau, soutien du système immunitaire, ou encore renforcement énergétique.
L'objectif n'est pas d'appliquer toutes ces méthodes à la fois, mais de choisir celles qui conviennent le mieux à votre compagnon.
Merci de laisser vos meilleures recettes antipuce naturel en commentaire de cet article 😘
1. L'aromathérapie : des huiles essentielles répulsives et apaisantes
🌿Pourquoi ça fonctionne ?
Les huiles essentielles (HE) sont des concentrés puissants de molécules actives. Certaines ont des propriétés insectifuges qui agissent en perturbant le système nerveux des parasites, les reflétant ainsi de détecter leur hôte ou d'y adhérer ( Mullens et al., 2009 ).
🧴Spray anti-parasitaire naturel
Ingrédients :
100 ml d'eau
1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre bio
10 gouttes d'huile essentielle de lavande vraie ( Lavandula angustifolia )
5 gouttes d'huile essentielle de géranium rosat ( Pelargonium graveolens )
5 gouttes d'huile essentielle de citronnelle ( Cymbopogon winterianus )
Préparation :
Mélangez tous les ingrédients dans un flacon spray en verre ambré.
Agitez avant chaque utilisation.
Vaporisez légèrement sur le pelage une fois par jour (en endommageant les yeux et les muqueuses).
📌 Précautions : Les huiles essentielles sont déconseillées chez les chats et les chiots de moins de trois mois. Faites toujours un test cutanée avant utilisation.
2. La phytothérapie : des plantes pour protéger de l'intérieur
🌱 Pourquoi ça fonctionne ?
Certaines plantes modifient l'odeur corporelle des animaux, les rendant moins attractives pour les parasites. D'autres renforcent le système immunitaire pour aider l'organisme à mieux réagir en cas d'infestation.
🍃Infusion de feuilles d'ortie et de romarin
L'ortie ( Urtica dioica ) est riche en silice et en fer, ce qui fortifie la peau et le pelage, créant une barrière naturelle contre les parasites. Le romarin ( Rosmarinus officinalis ), quant à lui, est un puissant antibactérien et insectifuge.
Préparation :
Faites infuser 1 cuillère à soupe de feuilles d'ortie et 1 cuillère à café de romarin dans 250 ml d'eau chaude.
Laissez refroidir et filtrez.
Ajoutez cette infusion à l'eau de boisson de votre chien 2 à 3 fois par semaine.
📌 Précautions : L'ortie est déconseillée aux chiens souffrant d'insuffisance rénale ou cardiaque.
3. L'argilothérapie : assainir le pelage et repousser les parasites
⛰ Pourquoi ça fonctionne ?
L'argile absorbe les toxines et les impuretés présentes sur la peau. Elle assèche également l'environnement des parasites, les rendant moins résistants.
🏺 Poudre anti-puces et tiques naturel
Ingrédients :
50 g d'argile verte ultra-ventilée
10 g de terre de diatomée
5 gouttes d'HE de lavande vraie
Préparation :
Mélangez les ingrédients dans un récipient hermétique.
Saupoudrez légèrement le pelage de votre chien, en endommageant la tête.
Brossez-vous pour bien répartir.
📌 Précautions : Ne pas inhaler la terre de diatomée (irritante pour les voies respiratoires).
4. La nutrithérapie : renforcer l'organisme de l'intérieur
🥩 Pourquoi ça fonctionne ?
Une alimentation équilibrée renforce les défenses naturelles et rend le pelage moins attrayant pour les parasites.
🍗 Levure de bière et ail en microdose
La levure de bière est riche en vitamines B, essentielles pour la peau et le pelage.
L' ail , en très petite quantité, possède des propriétés répulsives grâce aux composés soufrés qu'il libère dans l'organisme.
Posologie :
Levure de bière : 1 g par 10 kg de poids corporel, 5 fois par semaine.
Ail en poudre : 1 mg par kg de poids corporel, 2 fois par semaine.
📌 Précautions : L'ail doit être donné en microdose pour éviter tout effet toxique. Consultez un vétérinaire avant de l'introduire dans l'alimentation de votre chien.
5. La lithothérapie : protéger énergétiquement l'animal
💎Pourquoi ça fonctionne ?
Les pierres émettent des vibrations qui peuvent agir sur l'énergie corporelle et le champ électromagnétique de l'animal, créant ainsi un environnement moins favorable aux parasites.
🐕 Collier d'ambre
L'ambre naturel libère de légères ions négatifs et dégage une résine odorante au contact du pelage, ce qui éloigne naturellement les parasites.
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6. La bioénergie : harmoniser l'énergie de l'animal
🌟Pourquoi ça fonctionne ?
Certains champs énergétiques peuvent attirer ou repousser les parasites. En harmonisant l'énergie de l'animal, on peut le rendre moins vulnérable aux infestations.
🔮 Techniques simples à mettre en place
Magnétisme : Passez vos mains au-dessus du pelage de votre animal en visualisant une lumière dorée qui le protège.
Ondes de forme : Certains symboles comme la fleur de vie ou les spirales celtiques peuvent être placés près du couchage de l'animal pour créer un champ protecteur.
La médaille tic clip est conçu spécialement en biorésonance pour éloigner les parasites
Chapitre 4 : Adapter et pérenniser une protection naturelle contre les parasites
Adopter une approche naturelle contre les parasites ne signifie pas appliquer une solution unique et définitive. Contrairement aux traitements chimiques, qui agissent de façon standardisée, la prévention naturelle repose sur une synergie de méthodes qu'il faut adapter à chaque chien et à chaque saison. Dans ce dernier chapitre, nous allons voir comment optimiser ces solutions au fil du temps et ajuster les stratégies en fonction des besoins spécifiques de votre compagnon.
Observer et ajuster en fonction des saisons
L’activité des parasites varie tout au long de l’année. Il est donc essentiel d’adapter la protection de votre chien en fonction des conditions climatiques et des risques saisonniers.
🍂 Automne & Hiver - prévention douce et renforcement interne
Les parasites sont moins présents en hiver, mais ce n’est pas une raison pour relâcher les efforts.
C’est le moment idéal pour renforcer l’organisme en soutenant l’immunité avec une alimentation équilibrée et des cures de levure de bière ou d’ortie.
On peut espacer l’application des sprays répulsifs, mais continuer l’entretien du pelage avec l’argile et des huiles végétales nourrissantes.
🌸 Printemps & Été - période à haut risque
Dès les premières chaleurs, les puces, tiques et moustiques prolifèrent rapidement.
Augmenter la fréquence des soins répulsifs : spray aux huiles essentielles, collier d’ambre, ou terre de diatomée sur le pelage.
Vérifier le pelage après chaque sortie, surtout en zone boisée ou humide.
Évaluer l’efficacité des solutions choisies
Afin d’optimiser votre approche naturelle, il peut être intéressant de tenir un petit carnet de suivi. Notez :
✅ Les produits utilisés et leur fréquence d’application.
✅ Les éventuelles infestations malgré les soins.
✅ L’état général du pelage et de la peau de votre chien.
✅ Les comportements (démangeaisons, agitation).
Cette observation permet d’ajuster les solutions en fonction de leur efficacité et des réactions individuelles de l’animal.
Réagir rapidement en cas d’infestation
Si malgré les précautions, votre chien est infesté :
Optez pour un bain antiparasitaire naturel (savon noir + vinaigre de cidre).
Appliquez de la terre de diatomée sur son couchage et les tapis pour éviter une nouvelle infestation.
Complétez avec une cure détoxifiante interne (argile verte, hydrolat de thym).
Créer un environnement défavorable aux parasites
L’efficacité des méthodes naturelles repose aussi sur l’entretien de l’environnement du chien.
Hygiène de l’habitat
Passez l’aspirateur régulièrement, notamment sur les tapis, coussins et coins sombres.
Lavez fréquemment le couchage du chien avec du bicarbonate et du vinaigre blanc.
Diffusez de temps en temps des huiles essentielles antiparasitaires (géranium, lavande, eucalyptus citronné).
Jardin et espaces extérieurs
Plantez des végétaux répulsifs comme la menthe, la citronnelle ou le pyrèthre de Dalmatie dans votre jardin de druide animalier.
Réduisez les zones humides et ombragées où les tiques aiment se cacher.
Optez pour une tonte raisonnée et installez des poules, prédateurs éfficace des tiques.
Associer plusieurs techniques pour une protection optimale
Il n’existe pas de solution unique en matière de protection naturelle. L’idéal est de combiner plusieurs approches complémentaires.
Par exemple :
✅ Un spray aux huiles essentielles + un collier d’ambre pour l’effet répulsif.
✅ Une cure interne de levure de bière et d’ail pour modifier l’odeur corporelle.
✅ De la terre de diatomée ou de l’argile pour assainir le pelage.
✅ Un suivi régulier du pelage et un bon entretien du couchage.
Cette approche en "couches de protection" permet d’obtenir des résultats efficaces sans mettre en danger la santé de l’animal.
Conclusion : une démarche naturelle et responsable
Protéger son chien des parasites sans recourir aux traitements chimiques demande un peu plus de rigueur, mais c’est un choix bénéfique à long terme. Non seulement vous préservez la santé de votre animal en évitant les substances toxiques, mais vous réduisez aussi votre impact sur l’environnement.
L’essentiel est d’être proactif et non réactif : plutôt que d’attendre une infestation pour agir, il faut maintenir une routine préventive tout au long de l’année.
En intégrant ces solutions naturelles au quotidien, vous offrez à votre compagnon une protection douce, efficace et respectueuse de son équilibre. Il ne reste plus qu’à choisir les méthodes qui conviennent le mieux à votre chien et à les adapter au fil des saisons.
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à explorer nos formations et conseils personnalisés pour une approche plus approfondie du bien-être canin au naturel.
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